Date: 22 mai 2016 09:44
Topic: Quand on m’interviewait dans le Wall stree journal 🙂
Modified: 3 août 2020 12:41
Status: Completed
Un article paru dans le Wall street journal paru le 15 janvier 2002…
Posts impertinents sur notre retour au moyen-age
Date: 22 mai 2016 09:44
Topic: Quand on m’interviewait dans le Wall stree journal 🙂
Modified: 3 août 2020 12:41
Status: Completed
Un article paru dans le Wall street journal paru le 15 janvier 2002…
Date: 15 mai 2016 11:35
Topic: Pourquoi je ne mettrai plus un bulletin soscialiste dans l’urne…
Modified: 3 août 2020 12:41
Tags: Politique
Status: Completed
L’utilisation du 49.3, par Manuel Valls, a été la goute d’eau qui a fait déborder le vase.
J’ai toujours été un homme « de gauche », avec tout le sens que cela donne pour moi : je ne crois pas à l’autorégulation de la société, et par simple observation, aider les plus forts ne les a jamais conduits à redistribuer la richesse aux plus faibles ; la plupart des politiques libérales menées depuis les 50 dernières années reposent sur une simple allégation : en aidant les entreprises, celles-ci génèreront des emplois. Et les aides en question sont depuis des lustres toujours les mêmes : baisse de charges — la plupart du temps sur les salaires les plus bas —, baisse d’impôts, le tout, bien entendu, sans aucun contrôle ni contrepartie exigée…
The Song Remains the Same
Maintenant, regardons les résultats acquis durant un demi-siècle de libéralisme. Lorsque l’économie était fermée, effectivement, l’actionnariat restait principalement dans l’hexagone et, s’il absorbait une partie des aides consenties, concédait largement à l’investissement et la redistribution des richesses acquises sur ses salariés.
Mais le monde a changé. Aujourd’hui, l’actionnariat n’est plus une affaire de familles, mais n’a plus de nationalité, ni même de visage. Afin d’optimiser ses bénéfices, il a largement contribué à l’appauvrissement du pays, voire du continent, en allant chercher une main-d’œuvre bon marché et culturellement plus docile. Parallèlement, des bataillons de juristes et de fiscalistes ont été recrutés pour engranger un maximum d’aides publiques, et minimiser la contribution sociétale des entreprises en « optimisant » son impôt (merci au Panama, la Suisse, le Luxembourg…).
Par conséquent, aider les entreprises globalisées au même titre que les TPE, avec force de chèques en blanc, n’est pas seulement stupide, mais coupable. Continuer la lecture de « Pourquoi je ne mettrai plus un bulletin soscialiste dans l’urne… »