Happy new year !

Posts impertinents sur notre retour au moyen-age
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Herculanum est une ville antique de la Campanie, en Italie, située près de l’actuelle ville de Naples. La ville a été fondée au VIe siècle avant J.-C. par les Osques, une tribu italique. Elle a été conquise par les Romains au IVe siècle avant J.-C. et est devenue une colonie romaine au début du Ier siècle avant J.-C.
Herculanum était une ville prospère et riche grâce à sa proximité avec la ville de Pompéi, qui était un important centre commercial et culturel de l’Antiquité. La ville était également connue pour ses thermes, ses jardins et ses villas luxueuses.
En 79 apr. J.-C., la ville a été ensevelie sous les cendres et les débris du Vésuve lors de l’éruption de ce volcan. Elle a été redécouverte en 1709 lors de travaux de construction, mais ce n’est qu’au XIXe siècle que les fouilles ont commencé à être menées de manière systématique.
Les fouilles ont révélé un grand nombre de trésors archéologiques, y compris des mosaïques, des fresques, des sculptures et des objets en métal et en verre. Ils ont également permis de mieux comprendre la vie quotidienne des habitants de l’Antiquité, notamment grâce à la découverte de nombreux objets domestiques et de commerce.
Aujourd’hui, Herculanum est un site archéologique important et est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il est ouvert au public et constitue un lieu de fascination pour les amateurs d’histoire et de culture antique.
L’abbaye de Saint-Pons est un monastère bénédictin situé dans les Bouches-du-Rhône, en France. Fondée au VIIIe siècle, elle a été le siège de l’abbaye bénédictine de Saint-Pons de Thomières pendant plus de mille ans.
L’abbaye a été construite sur les ruines d’un temple romain dédié à Apollon et est devenue l’un des centres de pèlerinage les plus importants de la région. Au fil des siècles, elle a accueilli de nombreux moines et a été le lieu de naissance de nombreuses œuvres d’art et de littérature.
Au cours de son histoire, l’abbaye a connu de nombreux changements et a été restaurée à plusieurs reprises. Elle a notamment été endommagée pendant les guerres de religion au XVIe siècle et a été reconstruite au XVIIIe siècle.
Aujourd’hui, l’abbaye de Saint-Pons est ouverte au public et est devenue un lieu de culte et de pèlerinage populaire. On peut y admirer de nombreuses œuvres d’art, notamment des fresques et des mosaïques datant du Moyen Âge.
L’abbaye de Saint-Pons est également un lieu de villégiature populaire pour les touristes et les amoureux de l’histoire et de l’art. Elle est entourée de jardins et de verdure, ce qui en fait un endroit paisible et agréable pour se promener et se ressourcer.
En résumé, l’abbaye de Saint-Pons est un lieu chargé d’histoire et de culture, et sa visite est une expérience unique à ne pas manquer lors d’un voyage dans les Bouches-du-Rhône.
Date: 28 décembre 2016 12:33
Topic: Les biais cognitifs.
Modified: 3 août 2020 12:41
Tags: Philisophie
Status: Not Started
28 décembre 2016 12 h 34
Selon la théorie du choix rationnel, tout individu, au moment du choix, est censé prendre en compte tous les éléments préalablement soupesés et analysés avant de prendre une décision, quelle qu’elle soit.
C’est sans compter notre cerveau reptilien, qui depuis la nuit des temps, est entrainé à prendre des décisions rapides pour échapper au danger.
Une émission sur la chaine Planète, présentée par Morgan Freeman, montrait une expérience édifiante : on mettait des individus en situation de danger en les plaçant devant un écran géant où apparaissaient soudainement des personnages, tour à tout noirs ou blancs, et tour à tour brandissant une arme ou un téléphone portable ;
Si le personnage surgissant brandissait une arme, le cobaye devait tirer pour se défendre. Le résultat était que la majorité des cobayes, peu importe leurs origines ethniques, tiraient plus facilement si le personnage était noir.
La moralité de cette expérience, c’est que le cerveau humain fabrique des raccourcis, ou encore préjugés, pour réagir rapidement face à un danger.
Si l’on applique cette théorie à la vie quotidienne, on peut facilement en déduire que les gens fabriquent des préjugés pour raccourcir leur temps de réaction et éviter un danger. Ensuite, malheureusement, toute prise de décision passerait immanquablement au filtre de ces raccourcis et appliquerait un « algorithme » de pensée pour juger rapidement et prendre la décision en adéquation avec ces préjugés.
Il en est ainsi du racisme (arabe = terroriste, noir = fainéant, allemand = sans imagination, etc.)
Date: 1 juillet 2016 19:01
Topic: Selfie avec mes copains Ajay et Rabher à Agra, en Inde…
Modified: 3 août 2020 12:41
Status: Completed
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Date: 22 mai 2016 09:44
Topic: Quand on m’interviewait dans le Wall stree journal 🙂
Modified: 3 août 2020 12:41
Status: Completed
Un article paru dans le Wall street journal paru le 15 janvier 2002…
Date: 15 mai 2016 11:35
Topic: Pourquoi je ne mettrai plus un bulletin soscialiste dans l’urne…
Modified: 3 août 2020 12:41
Tags: Politique
Status: Completed
L’utilisation du 49.3, par Manuel Valls, a été la goute d’eau qui a fait déborder le vase.
J’ai toujours été un homme « de gauche », avec tout le sens que cela donne pour moi : je ne crois pas à l’autorégulation de la société, et par simple observation, aider les plus forts ne les a jamais conduits à redistribuer la richesse aux plus faibles ; la plupart des politiques libérales menées depuis les 50 dernières années reposent sur une simple allégation : en aidant les entreprises, celles-ci génèreront des emplois. Et les aides en question sont depuis des lustres toujours les mêmes : baisse de charges — la plupart du temps sur les salaires les plus bas —, baisse d’impôts, le tout, bien entendu, sans aucun contrôle ni contrepartie exigée…
The Song Remains the Same
Maintenant, regardons les résultats acquis durant un demi-siècle de libéralisme. Lorsque l’économie était fermée, effectivement, l’actionnariat restait principalement dans l’hexagone et, s’il absorbait une partie des aides consenties, concédait largement à l’investissement et la redistribution des richesses acquises sur ses salariés.
Mais le monde a changé. Aujourd’hui, l’actionnariat n’est plus une affaire de familles, mais n’a plus de nationalité, ni même de visage. Afin d’optimiser ses bénéfices, il a largement contribué à l’appauvrissement du pays, voire du continent, en allant chercher une main-d’œuvre bon marché et culturellement plus docile. Parallèlement, des bataillons de juristes et de fiscalistes ont été recrutés pour engranger un maximum d’aides publiques, et minimiser la contribution sociétale des entreprises en « optimisant » son impôt (merci au Panama, la Suisse, le Luxembourg…).
Par conséquent, aider les entreprises globalisées au même titre que les TPE, avec force de chèques en blanc, n’est pas seulement stupide, mais coupable. Continuer la lecture de « Pourquoi je ne mettrai plus un bulletin soscialiste dans l’urne… »